Un mariage cacher selon les us et les coutumes juives
Organiser un mariage cacher nécessite une bonne connaissance de la religion juive. Cela n’est certes pas évident pour les personnes qui ne sont pas de confession juive. Nous allons vous donner les éléments clés pour réussir l’organisation d’un mariage cacher. Notez qu’avant de pouvoir célébrer le mariage religieux, le couple doit avoir effectué un mariage civil avant. Il est aussi indiqué que si l’un des mariés n’est pas de confessions juives, cette dernière se doit de faire une conversion pour intégrer la communauté juive. Il ne faut pas aussi négliger les restrictions alimentaires pour le buffet de mariage. En effet, pour la confession juive, certaines viandes sont interdites. Cela va de soi, la préparation des repas et aussi le choix des lieux et du traiteur sont aussi primordiaux pour vous assurer du respect des traditions.
Entre toutes les contraintes et les coutumes à respecter pour un mariage cacher, nous allons vous guider à travers cet article pour ne pas vous y perdre. Notez que pour organiser un mariage cacher vous allez faire appel à des professionnels qui sont eux aussi approuvés par la communauté juive. Les contraintes à respecter pour un mariage cacher ne sont pas que d’ordre culinaire. En effet, même pour le lieu du buffet et les couverts, il y a des règles strictes à ne pas négliger. Voici donc les grandes lignes à ne surtout pas rater pour réussir un mariage cacher.
Les contraintes alimentaires pour un mariage cacher
Si vous organisez le buffet de mariage cacher, il faut d’abord se référer aux lois de cacherout dans la Torah. Plus simplement, ce sont les règles alimentaires qui comptent parmi les fondamentaux de la religion juive. Pour commencer sur les contraintes alimentaires, elles concernent surtout la viande. Tous les fruits et légumes qu’elle soit servie crue ou cuite sont donc autorisés. Pour le choix de la viande, tous les ruminants qui ont un sabot fendu, donc le bœuf, l’agneau, le mouton, la chèvre ou le veau sont admis dans l’assiette. Excluez donc le porc, le cheval ou les bêtes qui n’ont pas de sabot fendu ou ne ruminant pas leur nourriture, elles sont interdites. Notez que la volaille d’élevage et les poissons à écailles sont aussi les bienvenus dans un menu cacher. Cependant, les crustacés sont eux aussi interdits pour un menu cacher.
Attention, les contraintes alimentaires ne s’arrêtent pas qu’aux choix des produits. Il faut aussi tenir en compte le respect de la préparation des aliments. Pour la viande, il est impératif qu’elle soit cacher aussi. Plus simplement, une viande cacher vient d’une bête abattue selon un rituel précis par un « shoret » qui est généralement un Rabbin dont c’est la spécialité. Encore sur la préparation d’un menu, il faut savoir qu’un veau ou un agneau ne doit pas être cuit dans le lait de sa mère. Pour simplifier, il est interdit de consommer des produits à base de lait et de la viande durant un même repas. Il est aussi interdit de préparé la viande et le lait dans un même récipient.
Une bonne fête se célèbre aussi avec de bonnes bouteilles. La religion juive n’interdit pas la consommation d’alcool. Il vous est donc possible de servir du whisky, du champagne et aussi du vin pour buffet cacher. Sachez cependant que les spiritueux et les vins doivent être cacher. Techniquement, les spiritueux et le vin doivent provenir d’une production et être embouteillés sous contrôle rabbinique. La certification Beth Din vous garantit qu’un rabbin a contrôlé le produit dont il atteste la conformité aux lois de la cacherout. Il y a aussi les estampillages cacher : la Pessah ou KBDP qui doivent être présent sur la bouteille. Il faut savoir que le vin ne reste cacher que s’il est servi par des personnes juives. Opter pour des bouteilles avec le logo Mevushal. Elle indique que le vin restera cacher même si elle est servie par une personne n’appartenant pas à la confession juive.
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